Plus le temps passe et plus la santé est considérée comme une marchandise, une "évolution" bien lamentable dans notre société, ne le cachons pas, car il est évident que tout va de plus en plus mal, d'autant que la santé rentre progressivement et insidieusement dans une orientation qui s'imbrique petit à petit dans le cadre d'une économie de marché...qui a que faire de nos revendications, de nos missions...le seul lietmotiv pris en considération étant la rentabilité...
Dans cette triste réalité les personnels se voient de plus en plus déconsidérés, manipulés, exploités...les effectifs ne sont plus en nombre, de là l'épuisement professionnel gagne avec toutes ses conséquences (la fatigue, l'épuisement c'est tout ce qu'il y a d'humain, nous ne sommes pas des robots), les problèmes ne trouvent évidemment pas de solutions équitables, tout va en se compliquant...
Quant aux salaires ?...Ils ne sont plus considérés comme des rétributions correctes et ceci aussi ne peut plus durer, il y en a assez de ces mesures qui vont de plus en plus à l'encontre du bon sens.
Quant aux salaires ?...Ils ne sont plus considérés comme des rétributions correctes et ceci aussi ne peut plus durer, il y en a assez de ces mesures qui vont de plus en plus à l'encontre du bon sens.
Le monde de la santé est bien malade. Mais comment pourrait-il en être autrement ?...
Il est temps de démontrer au gouvernement qu'on en a assez d'être, en quelque sorte, les laissés pour compte !
Les mesures d'austérité sont incompatibles avec la notion que nous avons des services publics !
Il faut abandonner les orientations qui visent à réduire encore un peu plus les services, et les effectifs au nom de cette fameuse rentabilité, sous le prétexte bien souvent d'économie budgétaire...
Il faut abandonner les orientations qui visent à réduire encore un peu plus les services, et les effectifs au nom de cette fameuse rentabilité, sous le prétexte bien souvent d'économie budgétaire...
Le service public par définition a d'autres valeurs.
Les personnels de santé démontreront le 25 juin,
devant le ministère de la Santé, que trop c'est trop !
devant le ministère de la Santé, que trop c'est trop !
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